mercredi, mars 03, 2010

RJD2





Chicken-Bone Circuit.

Une fois n'est pas coutume, je vais faire un peu honneur à mon instrument : La Batterie.

Avec un morceau taillé pour une batterie.

Je vais essayer de vous faire écouter ce qui est génial à la batterie, pour tous les non-afficionados qui n'ont pas l'habitude d'écouter la batterie dans les morceaux (bah c'est pas bien !).

Donc je disais que ça commence par quelques nappes de clavier, toute douce, qui font des gros bisous, avec un son bien rond.
ET BIM ! Ca part direct avec la batterie. Ca à l'air d'être un solo de batterie, mais en fait, c'est juste un rythme plus compliqué que d'habitude, vu qu'il n'a samplé que les breaks d'une chanson (pour ceux qui veulent, elle est ), et qu'il est incroyablement stylé. En fait, je vais laisser tomber de vous expliquer la batterie, ça me parait un peu trop complexe, je sais pas si je vais y arriver..
Donc tant pis !
Mais sinon, après la première partie, on a un piano, et même un saxo qui rentrent !
Puis première pause, à 1:19.
Une petit peu de sampling, verbal celui-là, mais je sais pas d'où y vient.
Des bruits, des sons, des sortes de violons, le piano qui refait un petit coucou.
Ensuite, une voix de femme annonce : "that's better when the group isn't playing".
Du coup, comme pour la faire chier, la batterie repart toute seule, pour un énorme solo.
Et elle se fait rejoindre par encore une fois le piano et les nappes de clavier.

Un petit détail, tout de même. La batterie est donc un sample, mais ça ne s'entend presque pas, à part sur les cuivres, puisque les résonnances sont coupés par le son d'après. Or, le seul endroit où c'est évident, je vais vous le dire, c'est à la fin du solo qui est après le pont. Si vous écoutez à 2:46, vous entendrez très bien les caisses claires d'affilés.

Puis ça sent le sapin, tout se mélange, s'embrouille, et ensuite ça s'arrête brutalement, pour finir en electronic fading bordel.

Drumly, l'ours qui fait des gros bisous.

Hadrien


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2 commentaires:

crapsou a dit…

vraiment sympa. un seul défaut (ô combien douloureux quand approchent les 3:45) : c'est beaucoup trop court. On a envie que ça dure encore et encore. Iron Butterfly m'avait habitué à plus long.
(pour la peine je commence à me familiariser avec l'album, Dieu sait où ça me mènera).

Hadrien a dit…

Ca mène à des endroits tellement magiques..