dimanche, novembre 23, 2008
Iglu & Hartly
Pour continuer en mode rap, après le rap+trompette+violon, je vous apporte la Pop+rap. Enfin, c'est un peu plus que ça. Parce que là, c'est un vrai groupe avec deux rappeurs autour, c'est beaucoup plus musical. Et au niveau de la musicalité, ça continue de tourner autour de la vague revival des années 80. Et c'est fait avec Brio, sinon je ne vous en parlerais même pas.
Donc aujourd'hui, en exclusivité mondiale, IGLU & HARTLY présentent leur nouveau morceau avec une interview exclusive elle aussi d'un morceau exclusif.
Exclusif !
DTP : Alors comme ça, on fait un tube qui passe sur DTP ?
I&H : "Yeah, yeah, we always wanted to make a great song about nothing. Oh yeah, because our lyrics means absolutely nothing :
I wanna turn us all around
Now
Take a step down
How can we all get along
When we’re so violent and young?
I think that's mean, for you french people, something like :
"Je vais tous nous faire tourner
Maintenant
Descend d'une marche
Comment peut-on tous s'entendre
Quand on est si jeune et violent"
Really funny, uh ?"
DTP : Très. Vous pouvez nous faire une petite description de votre chanson, DTP Style ?
I&H : Ok, our song starts with awesome old school synthé and guitar. And we loved recording it, you know, because it has this very 80's particular sound, and we totally fell in love with the sound. So we decided to include it in the song. Then, there's some piano, but i don't like it very much, because it is a bit main stream. But our producer said so, so did we.
DTP : Et c'est pas un peu chiant de devoir tout le temps céder aux désirs du producteur ?
"Boarf, we know he's good at it, so we trust him. But he is like a bread in the ass sometimes; we forgive him because of his tremandous reputation."
DTP : Ok, je vois. Parlez-nous un peu de votre accointance avec les coups de grosse caisse à contre-temps, genre, hallucinant entre les deux repeat du refrain du milieu (c'est à dire à 2:00).
I&H : "They're great, hein ? It was the drummer idea, you know? By the way, what do you think of him ?"
DTP : Je sais pas si mon avis a beaucoup d'importance, mais il groove bien !
I&H : "Yeah, we like it that way. But sometimes, I wish that men could say he is fast too, if you know what I mean !"
DTP : Et dernière question, comment ça fait de ne pas se faire interviewer ?
I&H : "Oh man, it's so great I wonder why I did'nt think of it earlier..."
DTP : Vous auriez du boire ce café en septembre ?
I&H : "Oh maaaan, I'm so a huge fan of Avez-vous déjà vu too ! Alain Chabat is so, like, the best humorist ever !"
DTP : Vous êtes un gros ventilateur ?
I&H : "..."
DTP : Bon... Ben je sais pas ce qu'il lui arrive, mais bon tant pis, en tout cas, j'éspere que vous avez pris autant de plaisir à lire cette fausse interview que j'ai eu à la faire... Sur ce, je vous souhaite une bonne fin de soirée, et une bonne semaine, et à bientôt :) !
GROS BISOUS !
I&H : "SO LONG, SUCKERS ! "
DTP : Eh mais ta gueule ! Ça va pas ?! Je vous défendrai jusqu'à la mort, public adoré ! Je m'en vais de ce pas lui casser la gueule pour cet au revoir très peu poli !!
Hadrien, so long, aïïÏe, pas si fort, suckonnaaard de rappeeuur de meeaaaaaÏIIÏÏÏEEEUUU, putain, mon bras, MERDE !
lundi, novembre 17, 2008
Flobots
Whoa...
Ouai, je sais que j'ai posté hier, mais quand on découvre un truc pareil, on peut pas s'empêcher de faire découvrir le plus vite possible... Et puis, je vous avais prévenu, désormais, DTP peut frapper n'importe où, n'importe quand. Alors... Soyez prêt !
Or donc, disais-je, j'ai découvert ça ce matin, en me baladant au hasard dans mon ipod, dans une compil des Inrocks.
Et c'est proprement hallucinant.
Au début, je me suis dit, bof, encore un truc de pop canadienne. Violon en pizzacatto (réminiscense de mes 3 ans de violons...), et arpège un peu recherché, ouai, ok.
Et là, la voix "Old Time Radio" sort, oula, on m'aurait menti ? Et cette basse, tonitruante ? Mais je suis où ? Et là, la voix se pose et impose sa prose (figure la plus reprise dans le rap français).
Je suis généralement très fan des voix semi-chantées, semi-parlées, et celle-ci ne déroge pas à la règle. Les paroles, je suis juste trop fan. Surtout le "Look at me, look at me", tellement désabusé à chaque fois, mais tellement fort de souvenirs. C'est d'ailleurs au début du deuxième couplet que les pizzaccatos du violon se transforme en vrai violon. Et à la fin de ce deuxième couplet, c'est la trompette qui démarre pour le pont instrumental completement magique. Qui annonce aussi la couleur pour la suite, niveau mur de guitare en disto. (sto).
Attention à ne pas rater l'envolée lyrique du violon complétement improbable (à gauche pour les gens aux casques) à 2:34 !
Et aussi tous les "I can keep rythm with no metronome", et mon préféré : "i can lead a nation with a microphone", que je trouve plein de bon sens.
Et puis ça part en cacahuète, avec la fin où il hurle en choeur avec le stade, pour ce finir sur un classique, mais ô combien efficace "la boucle est bouclée", avec ce leitmotiv de la jeunesse qui apprend à faire du vélo "Sans les mains, Maman !".
Hadrien, sans les pieds.
mercredi, novembre 05, 2008
Back On Metronomy
Nan, mais nan, je le prend pas du tout mal, le "zéro" commentaire sur Métronomy ! Mais je m'en fous, je persiste et je signe, ce groupe est génial, et attendez de gouter à Back On The Motorway. Qui est en fait hallucinante pour une toute petite chose : les choeurs. Ils baraguinent quelque chose que je n'arrive pas à comprendre, mais aussi qui est introuvable sur le net... Donc je n'ai pas les paroles.
Ça commence donc tout doucement, avec une guitare bien old-school, qui gratte chaque temps, et ensuite, chaque croche. Avec une guitare electrique, qui ressemble étonnemment à Ratatat ! Mais juste la guitare...
Dès la 12e seconde, le riff ryhtmique part, et il va durer toute la chanson. Alors il faut écouter, c'est assez derrière, et il me semble que c'est fait avec un synthé avec un son de guitare. Bref, ça fait toutes les croches aussi, et ça me fait penser à chaque fois aux années 80, avec cette manière si particulière de jouer du clavier comme un épileptique. On imagine très bien les longs cheveux voler au vent au rythme des hochements de têtes du clavieristes.
Et donc, j'adore cette chanson pour deux choses. Tout d'abord, et le must, c'est donc ces voix de poulets qui chantent un truc du genre : "Oh ilnyoufthecouroucouoftheroad", et je trouve ça fantastique. Ca dure toute la chanson, et je n'ai quasiment jamais écouté le reste, mais rien que pour ça, la chanson vaut le détour.
Et l'autre truc génial, c'est un son de violoncelle synthétique très particulier. Pour l'entendre, c'est sur les refrains, et c'est très stéréo.
Et la chanson, dans tout son ensemble, est si parfaite. Sur la fin des couplets, on peut aussi entendre quelques réminiscences des claviers, qui ne jouent que des arpèges très zoulies. Je pense notamment à partir de 1:50. Attention, c'est très subtil.
Voilà, j'éspère que Metronomy vous a enchanté autant que moi. Et à la prochaine, pour de nouvelles aventures !
Hadrien, deux, un deux trois quatre.
(Je l'adore vraiment celle-là !)
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